







"C'est au bord de la route que j'ai pleuré, j'ai regardé le paysage et les larmes se sont mises à couler.
Le vent soufflait dans mes oreilles, comme s'il venait me murmurer les doux chants de la forêt.
Je ne quittais pas le paysage des yeux, il était trop beau pour moi. Je n'ai cessé de pleurer car il fallait décharger.
Les maux se sont évaporés avant que je ne puisse me relever et continuer de rêver."






